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Ballet National de Marseille

Danse - Bal - Cabaret

Martigues 13500

Le 22/01/2026

De l’hyper-réalisme de Peeping Tom à l’animalité primale de Claude Brumachon et Benjamin Lamarche, des influences dancehall de François Chaignaud et Cecilia Bengolea au style minimaliste de Lucinda Childs, en passant par leurs propres créations, classiques ou inédites, (LA)HORDE offre un kaléidoscope hypnotisant. Une histoire s’écrit sous les yeux des spectateurs, portée par onze interprètes prodigieux du Ballet national de Marseille, et s’achève sur un extrait de l’incontournable classique Room with a view.

photo Au Théâtre

Au Théâtre "L'Avare" de Molière

Spectacle, Théâtre

Tarascon 13150

Le 08/02/2026

« C'est tout l'art de Molière de "s'amuser de la folie des Hommes" qui s'exprime à travers ce chef d'oeuvre classique si moderne ! Outre la jubilatoire analyse psychiatrique de l'avarice à travers le personnage d'Harpagon et la formidable exposition du conflit des générations, la pièce se distingue par un foisonnement théâtral qui mêle intrigues amoureuses et familiales dans un style où Molière se régale à réunir le langage naturel d'Harpagon et celui plus sophistiqué des autres personnages. Mais le grand génie de Molière c'est, avant tout, de réussir à faire rire le public avec un personnage principal odieux, tyrannique, égoïste et maladivement avare. » Jean-Philippe Daguerre La presse en parle « Une mise en scène drôle et parfaitement rythmée, à partager en famille. » Télérama TTT « Un classique de Molière porté par une troupe pleine d’allant qui privilégie le côté burlesque. » Figaro Magazine « Du théâtre classique magistralement mis en scène par Jean Philippe Daguerre, un travail magnifique avec l’ensemble de tous les comédiens. Du Grand Théâtre, du Beau Théâtre. » La Théâtrothèque Par : Compagnie Le Grenier de Babouchka De : Molière Mise en scène : Jean-Philippe[...]

photo Beethoven, l’autre nom romantique de la transfiguration

Beethoven, l’autre nom romantique de la transfiguration

Musique

Marseille 13000

Le 30/03/2022

Une musique faite par un homme libre, qui ne s’adresse plus aux cieux mais aux hommes. Un homme qui incarne l’esprit révolutionnaire de la fin du XVIIIe siècle. Un temps qui révèle les individus comme libres de travailler pour eux. Beethoven sait à quel point pour réussir il faudra se détacher des deux figures d’autorité de la fin du XVIIIe siècle à Vienne : Mozart et Haydn. Le premier en ne le citant jamais, le deuxième en refusant d’être son disciple. Casser les codes du style classique en transfigurant sa forme sera sa marque de fabrique. Peu importe à ses débuts, si ses contemporains n’y voient que "modulations hasardeuses" et amoncellements de difficultés techniques, il sait qu’une partie de son œuvre ne sera comprise qu’après sa mort. La postérité est dans l’air du temps. De son vivant il fabriquera son propre mythe. Sa figure du génie hantera pour des décennies, voire un siècle, des générations de compositeurs tétanisés à l’idée d’aborder la forme sonate ou la symphonie. Et comme si un enterrement en 1827 au cimetière de Währing ne suffisait pas à tourner la page, on l’enterra deux autres fois ! Exhumé une première fois en 1863 afin de mieux protéger ses[...]

photo Sortie des eaux - Etienne Marc

Sortie des eaux - Etienne Marc

Musique classique, Musique, Lecture - Conte - Poésie

Marseille 13000

Du 21/02/2022 au 30/03/2022

L’ensemble de "Sortie des eaux" s’anime comme un partition baroque, musique du mouvement et du chevauchement, des polyphonies et des lectures multiples. Les oeuvres d’Étienne Marc sont constellées de patines qui s’entrecroisent et se mêlent. Elles sont conçues comme des rondes-bosses qu’il est nécessaire d’observer sous tous les angles pour en saisir la complexité, apanage du style baroque.

photo BEETHOVEN, L AUTRE NOM ROMANTIQUE

BEETHOVEN, L AUTRE NOM ROMANTIQUE

Musique classique

MARSEILLE 06 13006

Le 30/03/2022 à 20:00

Une musique faite par un homme libre, qui ne s'adresse plus aux cieux mais aux hommes. Un homme qui incarne l'esprit révolutionnaire de la fin du XVIIIe siècle. Un temps qui révèle les individus comme libres de travailler pour eux. Beethoven sait à quel point pour réussir il faudra se détacher des deux figures d'autorité de la fin du XVIIIe siècle à Vienne : Mozart et Haydn. Le premier en ne le citant jamais, le deuxième en refusant d'être son disciple. Casser les codes du style classique en transfigurant sa forme sera sa marque de fabrique. Peu importe à ses débuts, si ses contemporains n'y voient que « modulations hasardeuses » et amoncellements de difficultés techniques, il sait qu'une partie de son œuvre ne sera comprise qu'après sa mort. La postérité est dans l'air du temps. De son vivant il fabriquera son propre mythe. Sa figure du génie hantera pour des décennies, voire un siècle, des générations de compositeurs tétanisés à l'idée d'aborder la forme sonate ou la symphonie. Et comme si un enterrement en 1827 au cimetière de Währing ne suffisait pas à tourner la page, on l'enterra deux autres fois ! Exhumé une première fois en 1863 afin de mieux protéger ses restes,[...]